Bonjour guys !
-Le film « Les délices de Tokyo » :
Synopsis :
Sentaro, tient seul une petite boutique de dorayaki. Un jour, une vieille dame nommée Tokue se présente, attirée par les cerisiers, l’odeur sucrée, et l’affichette d’offre d’emploi. Elle veut travailler, même pour un tout petit salaire. Le tenancier l’éconduit et lui offre un dorayaki. Elle revient avec un échantillon de sa propre pâte de haricots rouges et continue à admirer les cerisiers en fleurs. Sentaro, qui n’a jamais pu manger entièrement un dorayaki, parce qu’il n’aime pas le sucré et qu’il travaille avec des produits industriels, apprécie enfin.
Tokue confectionne des dorayaki particulièrement délicieux pour les petites crêpes et les haricots rouges confits qui les fourrent. Sentaro accepte finalement de l’embaucher, mais Tokue impose sa recette, exigeante, longue. Les clients affluent.
Mais la présence active de Tokue pose problème : la déformation de ses mains, son adresse, tout indique que c’est une ancienne lépreuse, et la propriétaire exige qu’elle parte. Sentaro boit trop, pour oublier. Tokue le remplace une journée entière. La rumeur se répand, la clientèle fuit. Sentaro a pris ce travail alimentaire pour rembourser de grosses dettes : il doit donc obéir. Il lui demande de rendre son tablier. Reviendra-t-elle ?
Mon avis : Fascinée que je suis par le Japon et sa culture, je n’ai pas été déçue. Il ne s’agit absolument pas d’un documentaire, et l’histoire et centrée sur la réalisation de ces petits desserts, mais tout est poétique. Peu de bla-bla mais que des choses profondes de dites, notamment par la vieille femme qui est loin d’être sénile. Les images des fleurs de cerisiers en éclosion sont sublimes, la morale est humainement touchante. Loin des block bustes américains bourrés d’effets spéciaux, de déguisements, d’actions inutiles, les japonais vont à l’essentiel et c’est beaucoup mieux. A la base il s’agit d’un livre, que j’aimerais lire, je ne peux pas vous dire si l’adaptation est à la hauteur, en revanche le film en tant que tel est… magique. Je l’ai loué sur Youtube pour moins de 3E, autant vous dire que ça valait le coup / coût.
Bande annonce : http://bit.ly/2E7983l
-Le livre « La demoiselle d’Opéra » :
Résumé :
Au coeur de Paris étincelle l’Opéra coeur d’Adeline Piedplus, fille de concierge, brûle l’amour de la danse. Tant qu’elle possède l’agilité et la souplesse nécessaires, ce sont ses jambes qui expriment ses sentiments: l’amour, la douleur, la joie, la tendresse, la jalousie féminine. Elle connaît trois guerres, des passions dévorantes et coupables, la gloire et l’abandon, l’opulence et la misère, les rois et les poètes, des machinistes et des financiers. Elle ruine des vieillards, entretient des jeunes gens, a rang de danseuse étoile et devient vedette de revue au music-hall. Elle s’éteint enfin au premier muguet de mai 1947, peu après son centième anniversaire. Dans son sillage parfumé, la plume inspirée de Guy des Cars nous fait revivre, d’u n siècle à l’autre, à travers une destinée éblouissante, toute une époque la Belle époque.
Achat du livre en ligne pour quelques pièces de monnaie : http://bit.ly/2y5Z70M
Je suis passionnée de ballet et de danse classique, alors dès que j’ai vu le mot « opéra » sur la couverture de ce livre je l’ai emprunté à la bibliothèque sans même savoir de quoi il parlait. Je n’ai pas été déçue, les 2/3 du livre étant magnifiquement écrits. La troisième partie en revanche était un peu longue à mon sens et m’ennuyait parfois. Il était temps que la vie de l’héroïne s’achève, car après la vie qu’elle a vécue, elle méritait du repos. Partie pour Paris et ses danses envoutantes, j’ai trouvé l’écriture de Guy des Cars intelligente et touchante.
-La ballet « Casse Noisette » :
Synopsis :
« Casse-noisette » est un ballet-féerie de Piotr Ilitch Tchaïkovski en deux actes, soit trois tableaux et 15 scènes, présenté pour la première fois le 18 décembre 1892 au théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg sous la direction de Riccardo Drigo et chorégraphié par Lev Ivanov.
Le livret d’Ivan Vsevolojski et Marius Petipa s’inspire de la version d’Alexandre Dumas d’un conte d’Ernst Theodor Amadeus Hoffmann : Nußknacker und Mäusekönig (Casse-Noisette et le Roi des souris). La musique, confiée à Tchaïkovski et composée de février 1891 à mars 1892, est certainement une des musiques de ballet les plus populaires aujourd’hui et une des œuvres de Tchaïkovski les plus appréciées. « Je ne croyais pas moi-même au succès de ce ballet », dit-il à la fin de la représentation.
Casse-noisette est devenu, depuis sa création en décembre 1892, un véritable symbole musical. Le soir de Noël, Clara reçoit de son oncle un casse-noisette. Pendant la nuit, une merveilleuse féerie commence : dans le salon, les jouets s’animent et le casse-noisette se transforme en prince…
La fameuse « Danse de la fée dragée » histoire que la mélodie vous reste dans la tête : http://bit.ly/2PrNJTK
Billetterie pour assister aux futures représentations, et je suis dégoutée de pas pouvoir faire partie des spectateurs… : http://bit.ly/2ypqtyb
Vous connaissez sans doute le titre de ce ballet mais peu d’entre nous connaissent la véritable histoire. J’adorais le dessin animé de Barbie à l’époque, mais maintenant que je suis adulte c’est le ballet que je rêve de voir. Les costumes, la musique, la chorégraphie… tout est enchanteur. Un conte de Noël qui nous fait croire, petits et grands, que la magie existe.
Si vous avez déjà lu, vu une de ces perles dont je vous ai parlées, n’hésitez pas à partager vos avis. J’espère que vous allez bien, n’oubliez pas de garder les yeux et l’esprit ouvert, ne perdez jamais la fois et vos rêves d’enfant de vue. C’est si beau de croire que tout est possible et d’avoir confiance en soi, ne nous refusons pas cette insouciance qui loin de nous rendre idiots nous rendra heureux.
Bisous, Ada.
La danse… j’ai commencé à 8 ans 😋
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